Force est de constater que l’Etat et la Direction de l’AFB ne se sont pas donné les moyens humains et organisationnels nécessaire à notre nouvelle agence et à ses missions, et notamment dans ces six premiers mois d’existence, pour accompagner correctement les personnels dans l’exercice à risques de la fusion des établissements originels.

Outre le grand nombre de services en sous-effectif, qui survivent plus ou moins bien, les dégâts sont particulièrement ressortis pour les fonctions support. Le choix de conserver les 3 pôles est pertinent et a été soutenu par les OS signataires.

Cependant, il a été fait en l’absence totale d’aménagements permettant de partager les procédures administratives et de fluidifier la communication entre les pôles. De manière générale, les agents n’ont pas été suffisamment associés à la définition des objectifs et modalités de travail, et manquent de visibilité sur l’évolution des moyens de l’Agence.

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